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La prise de son comme acte d'écritureDate de mise à jour : 23/11/2023
| Identifiant OffreInfo : 24_265018 |
Carif-Oref Provence - Alpes - Côte d'Azur |
• sortir des recettes apprises pour ré-interroger sa pratique là où elle en est
• devenir auteur par la personnalisation de ses gestes de preneur de son
• apprendre à cerner le potentiel narratif de toute situation d'enregistrement
• explorer de nouvelles stratégies de captation
• apprendre à laisser le son se déployer pour raconter (« faire parler le son »)
• faire émerger "des voix qui racontent", déjouer la parole lisse
• apprendre à évaluer son travail en fonction de son projet global
• renforcer son écoute critique et autocritique
• élargir son assise référentielle
En parlant d'écriture sonore, on pense habituellement, à raison, à ces temps particuliers du montage et du mixage où le récit s'élabore selon une grammaire propre. Curieusement, on interroge moins le moment qui précède, celui de la captation. Et quand on le fait, on se concentre sur ce qu'on va enregistrer « qui ou quoi ? » en passant rapidement sur le « comment ? » (au-delà du seul souci de conformité technique). Or, la conception d'un dispositif d'enregistrement influe non seulement sur la matière que l'on va récolter mais aussi sur la qualité du récit qui pourra en découler. Comment penser et préparer ce moment de l'enregistrement ? Quels choix explicites ou implicites s'engagent à travers lui ? En quoi le protocole de prise de son est-il partie intégrante d'un projet de narration ?
Non certificiante
Information non communiquée
Conventionnement : Non
Niveau d'entrée : Information non communiquée
Les bases techniques de la prise de son sont supposées acquises (ce qui n'interdira pas de revenir sur cet aspect).