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Licence pro intervention sociale spécialité intervenants spécialisés dans le domaine de la surdité (langue des signes)Licence professionnelleNiveau de qualification : 6 - Savoirs approfondisBac + 3 et 4[Code Certif Info N°42577] |
Les métiers visés par cette licence correspondent aux métiers actuels d'assistance spécialisée proposée à la population sourde, en matière d'éducation, de formation professionnelle, de facilitation de la vie sociale et professionnelle : traduction, interprétariat, prise de notes, préceptorat, codage, aide aux démarches administratives, à l'insertion professionnelle, au recours à la justice, à l'assistance médicale, accès à la vie civique et culturelle...
Ces différentes activités peuvent être assurées par les interprètes et les interfaces de communication. La politique de l'État prévoit l'embauche de professionnels pour faciliter la vie des sourds. Un décret de 1988 organise l'embauche d'interprètes en langue des signes dans les écoles, collèges, lycées, lycées professionnels et universités. Les collectivités locales et les services publics (hôpitaux, tribunaux) font aussi appel à des interprètes de langue des signes qui sont aussi sollicités dans les congrès, les réunions de personnes sourdes et de leurs associations. Recrutés par les principales associations de sourds, les interfaces travaillent notamment comme preneurs de notes, pour les étudiants sourds par exemple ; ils interviennent aussi dans les entreprises où travaillent des sourds pour améliorer leur communication avec leur milieu de travail. Ils doivent être mobiles et motorisés pour intervenir dans différentes régions. Les embauches sont peu nombreuses, mais devraient se développer en même temps que la politique de l'État en faveur des jeunes sourds. Les salaires bruts des débutants s'élèvent à 220 euros pour les interfaces, de 1982 à 2287 euros pour les interprètes.Les nouvelles technologies ouvrent de nombreuses perspectives dans le domaine de la prise en charge de la surdité. Les activités de conception multimédia : création de sites, réalisation de films, de documents à visée pédagogique ou ludique bilingues (accompagnées d'une version en langue des signes incrustée par exemple) et de sous-titrages sont appelées à se développer. Elles pourraient offrir de nouveaux débouchés.
Les diplômés peuvent obtenir une licence de sciences du langage à condition de valider les unités d'enseignement supplémentaires suivantes : théories en phonétique générale (SLC 633) et une partie de l'U E 615, la phonologie.Avec la licence des sciences du langage, les étudiants peuvent éventuellement préparer les concours de l'Éducation nationale (CAPE, CAPES).
Les métiers visés par cette licence correspondent aux métiers actuels d'assistance spécialisée proposée à la population sourde, en matière d'éducation, de formation professionnelle, de facilitation de la vie sociale et professionnelle : traduction, interprétariat, prise de notes, préceptorat, codage, aide aux démarches administratives, à l'insertion professionnelle, au recours à la justice, à l'assistance médicale, accès à la vie civique et culturelle...
Ces différentes activités peuvent être assurées par les interprètes et les interfaces de communication. La politique de l'État prévoit l'embauche de professionnels pour faciliter la vie des sourds. Un décret de 1988 organise l'embauche d'interprètes en langue des signes dans les écoles, collèges, lycées, lycées professionnels et universités. Les collectivités locales et les services publics (hôpitaux, tribunaux) font aussi appel à des interprètes de langue des signes qui sont aussi sollicités dans les congrès, les réunions de personnes sourdes et de leurs associations. Recrutés par les principales associations de sourds, les interfaces travaillent notamment comme preneurs de notes, pour les étudiants sourds par exemple ; ils interviennent aussi dans les entreprises où travaillent des sourds pour améliorer leur communication avec leur milieu de travail. Ils doivent être mobiles et motorisés pour intervenir dans différentes régions. Les embauches sont peu nombreuses, mais devraient se développer en même temps que la politique de l'État en faveur des jeunes sourds. Les salaires bruts des débutants s'élèvent à 220 euros pour les interfaces, de 1982 à 2287 euros pour les interprètes.Les nouvelles technologies ouvrent de nombreuses perspectives dans le domaine de la prise en charge de la surdité. Les activités de conception multimédia : création de sites, réalisation de films, de documents à visée pédagogique ou ludique bilingues (accompagnées d'une version en langue des signes incrustée par exemple) et de sous-titrages sont appelées à se développer. Elles pourraient offrir de nouveaux débouchés.
1ère habilitation | Début validité | Fin validité |
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Année de la première session | Année de la dernière session |
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Information non communiquée | Information non communiquée |
Formation initiale | Formation continue | Apprentissage | Contrat de pro | VAE ou par expérience | Demande individuelle |
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Oui | Oui | Non | Non | Oui | Non |